Le Porn la poésie : Amber Chase me pirate

La vidéo (à voir ici) responsable du premier porno poème de l’année n’a rien de très originale. Un délire familial mais pas trop, qui se termine évidemment à trois et dont la pseudo histoire peut tout à fait être ignorée. Mais voilà qu’Amber Chase et son «déguisement» de MILF ultra-jeune a ici complètement fait fondre votre poète, à ce point que Blair Williams, pourtant hors-du-commun comme toujours, passe au second plan, au moins le temps d’un poème aspiré tout entier par la brune Amber. Que voulez-vous, le coup de foudre a ses raisons que le porno n’ignore pas…

 

BLUSH


M’appâtent, à peine aperçus,
Ses seins de laine qui font ses lèvres
Un pulpe écarlate.

Elle s’appelle Ambre, Amber à l’anglaise et parfois même :
Enfer
Puisque ses seins sont télépathes.

Puisque son cœur est un pirate oublié
Puis qu’elle est belle à en plaire
À une mémoire d’après la Terre

De quand son rouge et laineux corps
Et son nez signature à l’encre envolée
Te faisaient croire, au maintenant de l’infini

Via son désir d’éclore ou ta bite
Ou (si ainsi que Blair ton corps dépite tout idiot)
Ton abricot, ta chatte, en bref : ta fraise à miel.

Amber/Ambre aime émietter la moindre des parcelles
Du vocabulaire
Et ses profondeurs, ses ouvres-boîtes

Son orifice, non-unique mais principal
Et qui pour l’âme est bien trop reuch,
Aussi vital que névropathe, l’écho :

D’un ancien crush.

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