GoldLink – Ay Ay

Dans la guerre des pouces verts, les petits boulis se font salement fumer depuis des années par la team des gros boulis. La fascination pour les popotins massifs n’en finit pas d’alimenter la culture américaine et le dernier exemple en date s’appelle d’Ay Ay du jeune rappeur GoldLink et son clip tiré de sa première mixtape gratos God Complex.

Les vrai pygophiles ne s’embêtent pas de choisir une équipe, ils supportent toutes les écoles, toutes les tendances, toutes les formes. Un cul, c’est une planète à explorer. Les aventuriers y plantent leur tente, partent à la conquête de ce nouveau territoire en faisant des bonds joyeux comme la légende Neil Amstrong. Les simples observateurs se contentent d’admirer la puissance de mère Nature, allongés sur le dos pour profiter du spectacle des femmes géantes, des culs immenses — cette obsession infinie.

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