James Deen : « J’aime juste les boobs »

James Deen à 28 ans, il est bon de rappeler que cette star du porno est plutôt jeune contrairement à un Manuel Ferrara de 38 ans et un Rocco de 49 ans. Il a encore de longues années à nous régaler avec ses petits airs innocents et sa queue infaillible. Steven St. Croix l’interviewe à la coule, en mangeant des quesadillas dans un pub et au son des verres qui s’entrechoquent.

Steven St. Croix est un daron du porn avec ses 20 ans d’ancienneté, sa bite assurée 1 million de dollars chez Lloyd’s et l’historique statut de 1er contract male pour Vivid. Depuis environ un an, il discute, décontracté du gland, avec ses collègues de travail. James Deen est le septième de la série Across the Line.

Dans cette première partie de l’entretien, Deen revient sur sa passion pour le porn depuis son plus jeune âge. Il avoue qu’il souhaitait faire acteur porno depuis ses six ans, qu’à l’école il disait ça comme métier à la place de pompier et se faisait punir, mais pas comme dans Kink. Quand il a eu 16 ans, il a décidé qu’il vivrait son rêve et s’est débrouillé pour tourner sa première scène dès ses 18 ans fêtés.

Cette première fois était pour VCA, compagnie rachetée à l’époque par Hustler et dont les productions en nom propre ont stoppé en 2008. Sa performance ne valait pas tripette, « le seul truc de bon, c’était que j’étais dur à mort ». Malgré ce foirage, comme il était gentil garçon et qu’il ne se la pétait pas, son numéro a circulé dans la Porn Valley et très vite il a commencé à bosser quotidiennement.

Une partie de sa réputation vient d’une image d’intello du porn. On voudrait lui prêter des motivations profondes qui le poussent à exprimer sa sexualité de la sorte, mais il n’en est que dalle : « j’aime juste les boobs », se justifie-t-il. No brainy le James.

Cependant, il lui arrive de réfléchir un peu à ce qui l’entoure et à la question de savoir si internet encourage à consommer plus de porn, Deen répond qu’il donne juste un accès plus simple et rapide, alors qu’avant il se rappelle qu’il devait taper les grands frères de ses potes pour voir du Hustler moisi.

Voilà un peu ce qu’il raconte dans cette première partie d’interview. D’autres séquences sont à suivre.

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