Vingt ans déjà, je n’sais plus quoi penser

A 0’01 j’étais coquin, à 0’02 déjà fiévreux, à 0’03 bien aux abois, à 0’04 enfin : idolâtre. Le taulier m’avait pourtant prévenu : « un bon fappeur, tu le flaires à l’instinct. » Il n’a effectivement pas fallu patienter longtemps pour que mon odorat valide celui-ci avec force concupiscence. Un bonjour, un sourire, et puis cette encolure au parfum du soleil, cela suffisait bien pour braquer mes chakras trop longtemps taciturnes. Le mal était fait, la messe était dite : ces onze minutes trente-cinq allaient être longues à tenir.

La perfection d’un corps varie d’un être à l’autre, mais certains transcendent les clivages avec une fureur fanatique. Je ne serais jamais sûrement tombé sur cette demoiselle en cherchant par moi-même, trop occupé à fureter mes douces BBW et leurs seins infinis. Mais depuis quand est-ce la taille qui compte ? Merci donc à Gonzo de me l’avoir confiée.

La jeune fille est menue comme une prune sucrée dont la pulpe colle aux doigts qui la cueillent. Ses seins crémeux ont la rondeur d’une lune qu’on rêverait de fouler. Ses yeux brillent, au sens littéral comme au figuré, d’une innocence tantrique qui rappellera aux jouvenceaux et jouvencelles leurs meilleurs égarements ès couloirs du lycée. Mais ses papiers disent bien vingt-ans, et tant pis si elle ne les fait pas encore vraiment : elle a vingt ans, vingt ans déjà, et ses talents s’expriment par la voie du suçon.

« I think I like you », dixit l’homme qui a l’audace de l’accoupler en gardant son futal, et même de la lécher en gardant sa casquette. Tu m’étonnes, le veinard : je l’aimerais aussi si je l’avais entre mes mains. Je l’aime en fait déjà d’un amour sans nom, malgré la froideur de l’écran qui me sépare de son front baptismal. Donnez-moi son point G, je soulèverais le monde avec ma quine dressée. Les grains de beauté qui pigmentent ses cuisses, je les embrasserais. Des heures, des jours et des années durant si elle me le demande, car c’est repu que je serais. Jusqu’à délicatement me réjouir dans sa bouche, avec la même timidité que notre homme à casquette – cela nous change enfin des éjacs grand-guignolesques.

Malheureusement, ou heureusement peut-être, cette jolie galopine ne dort pas dans mon lit. En attendant que cette nymphe ne rejoigne ma réalité, je m’offre la même montre pour mes prochaines branlettes. Ça fera illusion quelques temps, à défaut d’avoir bientôt la chance de recevoir un first swallow aussi moelleux et chaud.

tags : #babe, #blonde#POV
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