Mon coup de teub : Jo

J’ai le coup de teub en dormance, tapi au fond de mon cœur, il se réveille d’un coup et m’emporte sur les sommets enneigés de chaînes de montagnes extraordinaires. Transporté par les pulsations énamourées, je chausse des bottes de sept lieues de quelques octets, si légères qu’elles tiennent sur une disquette 3,5 pouces, et je saute de pics en mot-dièses pour vivre la fougue de la passion, ma mélodie du bonheur à son plus fort.

Cette semaine, elle s’appelle Jo Evans, elle vient du Staffordshire, au beau milieu de l’Angleterre. Zoo, Page 3, Front ont publié sa nudité, le saint triptyque de la perfide Albion en matière de gros nichons. Jo, certes tu portes des extensions, mais j’aime ce flottement dans tes mouvements, tu es à la fois déterminée à t’exhiber et hésitante, dévoilant ta poitrine la bouche entrouverte, tes lèvres retroussées et le baiser que je n’ose y poser, cette saillie rouge que je souhaite pincer entre mes dents. Oh ! Jo, tu m’affoles.

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Jo, Joanne, Joanna, ScribbleJo, peu importe le nombre de tes syllabes, j’enfile mes bottes de fappeur et je repars dans mes rêveries avant que la nonchalance dont tu fais preuve ne me mette le cœur au garde-à-vous.

Photo en une de Ed Godden.

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