Bobbi Starr : squirting d’automne

Une terrible nouvelle vient d’arriver, l’automne est là, triste et seul comme un homme qui pleure dans la rue. Pour les âmes sensibles, la saison la plus détestable de l’année ressemble au printemps qui renoncerait, jetterait l’éponge et ferait une marche arrière interminable de 6 mois.

Aux grands problèmes, les grands remèdes : le stupre, que ça gicle et que ça soit sale. Squirt dans la bouche, ass-to-mouth sans broncher, du vice à tous les étages et Bobbi Starr, ma star, ma mie, mon infini qui dégage plus de perversité que mille Annette Schwartz alignées. J’avais cette vidéo en stock depuis un moment, je me la gardais sous le coude quand ça serait le temps d’en chier. Le signal a été lancé tout à l’heure et il s’appelle The House At Pooneil Corners, morceau d’anthologie de la discographie de Jefferson Airplane. L’amour et la violence, l’apocalypse des cœurs, les grands filaments dans le ciel avant l’hiver nucléaire. Quand ce bordel tourne en boucle, c’est le moment, faut lancer Bobbi Starr et son corps élastique comme une énorme bouée de sauvetage.

Dans cette vidéo en quatre temps (Bobbi toute seule qui vérifie que son intérieur est toujours aussi propre, Bobbi qui squirte à en faire pâlir Seth Guex, Bobbi qui revient au début mais avec la bite sous viagra d’un drôle de type et enfin Bobbi qui nettoie ses petites bêtises) je ne sais pas où donner de la tête, je crois qu’en fait la simple l’idée qu’elle soit là me suffit amplement. Faut dire que le type a une sacrée gueule de merde, donc il faut prendre du recul avec la vidéo et s’imaginer d’autres choses. Bien heureusement le réa a jugé bon de lui trancher la tête, opter pour un contre-jour et une contre-plongée pour mieux se concentrer sur l’objet absolu du désir, elle et son regard pervers qui abolit les barrières — l’essence du vice.

Tag : #Brunette, #Anal, #Squirt
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