Namio Harukawa maître du facesitting

Namio Harukawa est un artiste totalement anonyme sur Internet. Aucune information sur la personne qui se cache derrière ce pseudo, sinon une date et un lieu de naissance (1947). Ses œuvres jouissent d’une toute autre popularité et il n’y a qu’à se balader sur des sites d’art et d’érotisme pour comprendre très vite la fascination qu’elles exercent. Jusqu’en Octobre, le Musée de l’Érotisme expose 71 de ses œuvres – dont 59 issues des Jardins de Domina, le dernier bébé pondu par le dessinateur. L’exposition est entièrement consacrée à la gloire des boulis, parfait pour attirer les amateurs de bubble butt. Mais attention, le résultat n’est pas tendre avec les hommes. Fidèle à son obsession, il décline le fétichisme du facesitting et de la domination avec une imagination débordante.

Pour chaque endroit où une femme voudrait bien s’asseoir, il y aura toujours une tête masculine à disposition pour lui servir de siège et accessoirement lui procurer du plaisir. Tabourets, strapontins et strings sont ingénieusement revisités pour intégrer le facesitting dans le quotidien. Dans les Jardins de Domina, l’héroïne callipyge, ÔHara Kana arrive à la tête d’une entreprise en initiant les hommes aux joies de la soumission. Dans la foulée, elle crée son salon de beauté où le service est assuré par des mâles masochistes et un parc d’attraction animés par des esclaves.

Bien sûr Namio n’allait pas s’arrêter en si bon chemin et en cherchant bien on tombe aussi sur des esquisses spécialement dédiées à l’uro et au scato, traitant pour une fois un tout autre fantasme que celui de l’exploration rectale.

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