Mia Malkova emballe sec

Dans l’article consacré à Mia Malkova, vous deviez me croire sur parole quant aux qualités de la jeune femme une fois le voyant rouge de la caméra allumé. Réparons ce manquement au sens du partage qui plane sur les réseaux. Manuel Ferrara produit les meilleurs gonzo du moment. Pourquoi ?

La réponse se trouve encore dans cette satanée sincérité que je rabâche à chaque article. Ferrara ne tourne pas, il ne shoote pas, il baise tout simplement.

En route pour un beau moment de porno

En route pour un beau moment de porno

Dans le quatorzième épisode de Raw, Mia se fait emballer comme s’il ne s’agissait pas d’un porn. Deux passages sont particulièrement émouvants :

Après une courte séance photo introductive, Manu pose la caméra et rejoint Mia sur le lit. Soyez attentifs, car vous n’avez jamais vu un tel moment de vérité dans le porno. Les galoches sont en or massif, du genre vous qui concluez un amour récalcitrant qui vous a opposé des semaines de résistance. L’intensité domine tout. Je ne cacherai pas que, fappeur sensible, ma gorge s’est serrée et un frisson m’a parcouru. J’assistais à ce moment rare que nous cherchons tous dans la séduction, cet instant où la passion peut enfin se déchaîner pleinement.

Ça s'emballe sec

Ça s’emballe sec

Après la passion, le rimjob. Cette pratique que Ferrara affectionne tout particulièrement (et nous savons qu’il n’est pas le seul) nous offre un moment de complicité encore une fois assez rare. Mia le chatouille et Manu ne contrôle plus son rire. C’est du porno maison, c’est toi avec ta moitié qui vous marrez pour une connerie en plein câlin. C’est beau tellement c’est naturel, même si elle a la tête entre ses fesses.

J’espère que vous apprécierez tous ces beaux moments de sincérité. Quand elle rit, quand elle précise d’aller doucement ou qu’elle dit que la queue de Ferrara est trop grosse. Quand il filme son cul de longues minutes, amoureux comme nous de ses formes, de sa beauté. Quand elle le/nous regarde avec ses tendres yeux noisette, un peu verts. Mais ça, je vous l’ai déjà raconté ailleurs. Pardonnez ces répétitions, je suis encore ému.

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