Girl Next To Me With My Fake ID At The Bar At The Party In NYC

J’ai jamais aimé les gens avec des reflex numériques en soirée. J’ai jamais aimé Cobra Snake non plus. Pour moi c’est du sous Merlin Bronques. Quand t’a goûté à du Merlin, plus la peine de chercher ailleurs, c’est un peu comme la weed de Medhi, la deep throat de Sasha Grey. Merlin n’est pas un genre d’acteur bâtard, sudam croisé Walt Disney, le tag n’en est pas encore à inventer des types pour avoir quelque chose à se mettre sous la main, Merlin c’est le mec perruqué derrière Last Night’s Party.

C’était l’époque où on s’astiquait sur des sites sfw, moitié vids LOL moitié soft porn, des meufs qui shakent leur boulard sur youtube, deux trois strip tease avec ou sans duckface, les diaporamas du daron qu’on reluque quand ils sont sortis, où en salle informatique on pouvait tomber sur les photos de la meuf à gros seins et gros cul qu’on matait discrétos à la récré. La découverte un peu minable de la branlette de province en collège catholique alors qu’à 200 m ça suçait dans les chiottes et qu’on ignorait limite ce que voulait dire clitoris.

Last Night’s Party

Paris, c’est pas NY non plus. Copyright © 2004-2009 LastNightsParty Inc.

Chez LNP, les tags à l’honneur sont brunette/latina/amat/voyeur/girl next door, mais surtout GND. Pour info, Merlin, 40 balais bien balancés se balade dans NY, shoote des bonnasses dans les résois et les balance sur un internet, parce qu’il s’est un peu chié dessus dans le rap game. Surtout, il shoote les filles en privé, dans les chiottes ou chez elles, de préférence débarrassées du superflu. Alangui devant mon ordi, la vraie GND, donc, plutôt même la « Girl Next To Me With My Fake ID At The Bar At The Party In NYC », prend du poids, des formes et du volume. La vraie GND, à un mètre de ma bite, est prête à s’enfiler dessus. J’me shoote à la modernité en même temps que j’me shoote à la meuf bonne, fine, bronzée, brune. Elles lèvent leur jupe pour Merlin’s sake, elles se mettent à poil pour la gloire, montrent leur fesses pour le success, et la téléréalité acquiert sur un internet ses lettres de noblesse. Sur LNP, les meufs sont bonnes et le savent et sont prêtes à tout pour se faire cliper, Bronques me fait visiter des chambres d’hôtels par dizaines où les filles prennent des poses lascives qui me font exploser, et je les enchaîne à chaque visite.

Last Night’s Party Faye Reagan

Faye Reagan, femme d’intérieur. Copyright © 2004-2009 LastNightsParty Inc.

Tout en faisant atteindre à ma libido des pics jamais vus jusqu’alors, parfois simplement avec une bouche ou une paire de fesses, Merlin aurait facilement pu flinguer ma vie sexuelle en fixant un niveau d’atteintes supérieur à ce qui tournait autour de moi, LNP aurait pu être un shot de 0.9 dans un champ de tabac. J’suis néanmoins sorti sans séquelles de ses séquences de gaspillage de semence, rassurez-vous. Malheureusement, LNP est responsable de ma déception future (ouais, j’maltraite l’espace-temps, le tag n’a rien à envier à Lost) devant le porn formaté pipe-levrette-sodo. Sans déconner, la main sur ma bite, j’avais droit aux meilleurs POV du monde, mes neurones étaient submergés d’endomorphines et je devais bien utiliser 50% de mes capacités cérébrales, toujours plus loin toujours plus fort toujours plus vrai. Le porn en 3D ? J’ai pas attendu Dorcel, les meufs prenaient vie sous mes doigts, criaient, claquaient, vibraient, et j’en redemandais, dans les chiottes, contre le bar, chez toi chez moi, à jeun ou sous soubstances, ma main sur ma bite donnait naissance à 15 mille films jamais tournés, BO de cris et pleurs de cyprine, parfois un match de double, parfois même un 4-4-2 lors d’un 5 à 7 avec de possibles caissières du 8 à 8 le jour, jamais d’ennui, toujours l’explosion. Dans les yeux j’avais la sueur, les étoiles et elles…

Merci Merlin.

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