Coffret VODO – Girlvert : A Porno Memoir

Aujourd’hui, pas de film, de jeu vidéo ou de musique ; on va vous parler d’un livre, un vrai, une autobiographie noir sur blanc et sans images. Girlvert : A Porno Memoir est issu de l’expérience et de la plume d’Oriana Small, plus connue sous le nom d’Ashley Blue. Vous connaissez sans doute cette performeuse. Elle s’est lancée dans le porno à tout juste vingt ans, au début des années 2000 ; en à peine dix ans de métier, elle a participé en tant qu’actrice à près de quatre cent films et en a réalisé une quinzaine d’autres. Les AVN et les XRCO l’ont sacrée meilleure actrice à plusieurs reprises, elle a même fait son entrée au fameux Hall of Fame en 2013. Après son mariage, à l’aube des années 2010, elle a laissé tomber l’industrie et s’est attelée à la rédaction d’une autobiographie. Ainsi naquit Girlvert : A Porno Memoir.

Généralement, la réorientation artistique des porn stars à la retraite est une mauvaise idée ; pas pour Ashley Blue. Son livre, bien qu’il n’ait pas rencontré le succès public escompté, a été généreusement salué par la critique. Même le très talentueux et controversé James Frey a salué le talent d’écriture d’Oriana Small. Girlvert est un livre dur et salement direct ; violence, scènes hardcore, envies suicidaires, maladies, drogues. Ashley Blue y raconte tout ce qu’elle a vécu, sans prendre position pour ou contre l’industrie pornographique. Girlvert ne fait pas dans le jugement, ni dans le sensationnalisme. Par son contenu, le livre est extrêmement dur ; l’actrice raconte sa décennie, brutalement, et c’est tout. Par le fond comme par la forme, on est pas si loin du gonzo que ça. C’est traumatisant, mais c’est pour le mieux.

Girlvert : A Porno Memoir fait partie du bundle NSFW de VODO, qui est disponible ici pour la modique somme de vingt dollars. On vous rappelle qu’on vous le fait également gagner ; il suffit de nous envoyer un e-mail à concours@letagparfait.com pour tenter votre chance. Le coffret contient douze films, livres et jeux vidéos à télécharger sur le site de VODO. Tout ce contenu est sélectionné avec soin, l’idée est vraiment de faire découvrir. Si vous avez un peu plus de vingt dollars à dépenser, n’hésitez pas ; VODO a choisi le pay what you want, libre à vous d’envoyer jusqu’à cent dollars histoire de faire un geste pour cette sympathique start-up.

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