Mariah Carey, ce tag qui s’ignore

Il y a des soirs où la tristesse s’abat sur votre sexe et que vous vous mettez à taper n’importe quoi sur les tubes. On appelle ça le spleen du fappeur, quand une demi-molle peine à atteindre les cieux ou que le désert de Gobi envahit votre intérieur. C’est souvent à ce moment-là qu’arrive l’improbable, le mauvais fappeur, l’irréel. L’autre soir, blasé de la life, je me suis retrouvé face à mon pote le hamster vicieux avec aucune envie. Zéro. Panne sèche. Pas même un combo facesitting teen amateur qui aurait pu redonner sens à la nuit.

Alors j’ai tapé Mariah Carey pour voir si, par hasard, son sosie pouvait ranimer la flamme de mes 9 ans et le clip Dreamlover, sorte de gang bang interracial en plein après-midi. Un choc d’une puissance phénoménale. Résultat ? Une vingtaine d’occurrences, tout un tas de tribute sympathique, dont un spécial Noël très touchant. Mais surtout ce qui va suivre, le clip Honey remonté en porno.

Honey correspond au virage hip-hop de la diva fin 90’s qui fricotait alors avec les bandits de la FM comme Ol’ Dirty Bastard ou le pénible Puff Daddy (qui tutoyait le sommet des charts). Le clip était fou, complètement hollywoodien avec des hélicos et des gros bateaux. Ambiance les balls en or massif sur la table avec Mariah qui tape ses vocalises à faire péter le service en cristal de mamie. L’époque où MTV passait de la musique et où Mariah ressemblait à une déesse de la fécondité. Sans vouloir jouer les nostalgiques, ça avait de la gueule quand tu bouffais tes Dinosaurus.

Voici donc sa version porno, remontée par un génie du nom de tricky311. Un type courageux qui a plus d’une cinquantaine de clips porno dans le même genre où les pop stars côtoient des deep throat de porn stars. La pornophony à son paroxysme, oscillant entre la perfection et le mauvais goût absolu.

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