Metro Zu : « Cette matière inspire toute ma musique »

Metro Zu est un des groupes de rap les plus représentatifs de la nouvelle vague qui arrive de Miami. De la douceur, des boulis, un zest de spiritualité et pas mal de musique pour baiser. Ils étaient de passage en Europe à la recherche de billets violets, de petits culs, de Mew et de quoi s’élever spirituellement. Ce qui va suivre est le résultat de notre rencontre avec ces bienfaiteurs de la musique cuisinée au sperme en provenance du 305 de Miami.

Vous pouvez vous présenter ?
Lofty : Moi c’est Lofty305.
Chris : Je suis Freebase.
L & C : On est le groupe Metro Zu. Cokey Shore Posh Gang, CSPG, 2.7.5, 305, 666 Carbon Gang.

Ça veut dire quoi tout ça ?
L : Ce sont nos blazes.
C : Tu sais à Miami on est nombreux à porter des blazes, on traîne tous en bandes.
L : C’est juste mon délire mec. Du moment que tu retiens Lofty305, ça me va.

Et 305 ?
L : C’est notre code postal.
C : C’est un truc de Miami, si t’es un O.G.à Miami, tu viens du 305.
L : Les types du quartier disent tous « je suis 305 ».

Où sont les autres membres de Metro Zu, Poshtronaut et Ruben Slikk ?
L : Ils chillent à Miami en ce moment.

La sphère autour de Metro Zu c’est beaucoup de musique mais aussi pas mal de visuels. Vous passez votre temps à dessiner et à peindre des trucs : des murs ou des lambos
C : On a peint une seule lambo (lamborghini, ndlr), l’autre c’était pour les concerts, une lambo en or. Celle qu’on a peint, c’était pas directement sur la caisse, il y avait des protections de malade parce qu’ils savaient qu’on allait la défoncer.
L : On l’a défoncée salement, c’était trop beau. Tu sais ils étaient même pas vénère à cause de ça, mais plus de tout le bordel autour. La vérité derrière “Lambo God” c’est qu’on a fait cet évènement, nos potes sont venus, des meufs aussi, tu sais des cyberprincesses, que des meufs incroyables. Des filles avec des boules de malade mais elle étaient un peu du genre “oh merde ça fait pas un peu trop michto ? » Elles étaient en lingerie, des bombes. Mes potes au fond passaient du son en se défonçant à la weed.

Vous avez dessiné combien de chattes sur cette Lambo ?
C : Trois ou quatre je crois.
L : J’en ai dessiné aucune, c’était plus un joyeux bordel de conneries et parfois je me disais “oh tiens une chatte”. Je lui ai même pas mis de lèvres, j’ai essayé de garder le truc assez clean en fait ? J’ai essayé mais j’étais plus en mode je m’en bas les yeuks. Au final, tout monde tagguait cette merde comme s’ils la profanaient.
C : C’était complètement taré, un type a juste dessiné un grand renoi… et au dessus de sa tête…
L : Il a juste écrit FOUTRE
C : C’était peut-être le boss du foutre.
L : Ça se trouve il s’est juste dessiné lui-même, une sorte d’autoportrait et il a rajouté FOUTRE, j’ai pas de problème avec ça, à moins que… bref.
C : A moins que tu n’ais vraiment du foutre sur toi.
L : Ton propre foutre.
C : Du fin fond de tes balls.
L : Tu prends une douche et tu zappes. C’est ton sperme, c’est ton énergie de jizzboss.
C : Surtout quand tu as ce mélange d’oestrogènes ET de foutre.
L : Quand je te dis jizzboss, je te parle de “my jizz, my jizz, my bitch, my cum”. Tu vois ce que je veux dire ?
C : Cette matière inspire toute ma musique.

Je ne peux pas même compter combien de vos morceaux s’appellent “cum” ou “jizzboss” ou “jizzcum” ou n’importe quelle combinaison de tous ces mots. Le sperme vous inspire ?
L : Tout ça vient de Ruben Slikk, c’est un Dieu du foutre, c’est le Dieu. Il a créé toute cette forme de culture. Tout le lexique vient de ce négro.
C : Ça fait déjà un bail je crois.
L : Il est une sorte de gangsta du foutre, c’est un CumBoss.
C : C’est un type sympa, c’est con qu’il soit pas là pour fait cette interview avec vous les mecs.
L : Il est putain de cinglé ouais, totalement rayé.

Est-ce vous tombez amoureux de toutes les filles que vous baisez ?
C : C’est cool de se faire plein de meufs différentes et de bien kiffer avec chacune d’entre elles.
L : Mais pas comme ça, je ne tombe pas amoureux, je sais juste qu’il existe là-bas une grande piscine d’amour dans laquelle je peux me jeter à tout moment si j’étais pas autant concentré sur mes trucs, tu vois ? Je dois faire du biff.

J’ai l’impression que ça manque de sorties physiques dans votre crew de Miami à part SpaceGhostPurrp qui a signé chez 4AD, non ?
L : Ah bon ? C’est parce qu’elles sont rares ! On sort des trucs en physique, par exemple « Strictly For My Raiders” (la dernière tape de Denzel Curry’) est sortie en physique. Peut-être que tu ne peux pas la trouver mais ça existe. Tu devrais demander à Curry “hey mec je veux ma copie aussi !” et il t’en fera une. Tu sais, on est dans l’underground, on est accessible, tout le monde dans le game à Miami sait ça. On est hyper accessible pour nos fans et pour tous les artistes qui veulent bosser avec nous. On est des bosseurs, tout ce qu’on demande contre un peu de notre temps c’est du cash, okay ?

Vous en êtes où avec votre compteur à chattes ?
L : Mon compteur à chattes est SUPER bas.

Tu continues à compter ?
L : Bien sûr ! C’est facile de compter, j’ai pas baisé tant de gos que ça en fait. Mais les putes que j’ai baisé, en fait c’était pas des putes, c’était des déesses… je baise pas de putes mec. Enfin, j’ai quand même du me faire sucer par des putes… Tu sais quoi ? J’ai un compteur à pipes. Ça va, ça roule… Par contre ce négro là *il montre du doigt Chris” a un compteur à chattes SUPER HAUT.
C : J’ai vraiment baisé des meufs sublimes dans ma vie.

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Vous voyagez beaucoup à travers l’Europe et l’Amérique, où se trouvent les plus belles femmes ?
C : Miami.
L : Madrid pèse lourd.
C : Ouais, je kiffe bien Madrid. J’ai rencontré un petit cul bien sexy de Colombie là-bas.
L : Il y a sûrement plein de petits culs sympa dans les petites villes avec des super chattes mais je ne suis allé que dans les grandes villes. Mais putain, les filles que j’ai niqué étaient juste “wow”. Si t’écoutes la musique que je fais après que j’ai baisé c’est plutôt “intimacy”. Tu vois tous ces sons RnB que j’ai commencé à faire ? Tout ça vient de la chatte, elle transforme toute l’esthétique autour de mon délire pour l’amener encore plus loin.

Tu as fait un morceau qui s’appelle Death Cumz, ça raconte quoi ?
L : Tout le monde connait cette histoire. Je veux dire, ceux qui savent ce qu’il se passe ici. Les mecs de la Cyberculture en gros, les gens qui savent ce qu’il se putain de passe. C’est une chanson sur une meuf que j’ai rencontré dont je suis tombé fou amoureux. La chanson parle d’elle-même, j’étais en kiff. Mais c’est fini tout ce délire, maintenant mon truc c’est la thune, toute ma musique parle de faire du fric, mais parfois aussi de meufs. Mais il y a plein de petites à Paris que j’ai envie de pécho, te gourres pas non plus.
C : Vous connaissez le groupe Orties ? On a grave envie de baiser avec elles.
L : Elles sont badass, elles font des morceaux complètement fous.
C : Elles font vraiment des trucs arty en plus.
L : Bon, je ne comprends rien à ce qu’elles racontent mais leurs voix te pénètrent. C’est pas n’importe quelles meufs.

Vous avez déjà fait un plan à trois ensemble ?
C : Lui, il a déjà fait ça une fois avec des meufs.
L : Hey, un threesome mec c’est pas deux renois et une meuf, c’est plus du genre “Oh mec, je suis trop défoncé à la D, mon négro baise une go dans la pièce à côté, elle est okay pour que j’y aille, je le sais parce qu’elle a pas arrêté de me mater”. C’est pas un threesome ça, c’est juste “essayer de gratter de la chatte”. Mais j’ai jamais eu à faire ça, les meufs aiment les négros.
C : J’ai mon ordi, il a le sien tu vois ? On ne partage pas tout, chacun ses affaires !
L : Si jamais tu te fais sucer par deux meufs, l’énergie qui s’en dégage est un putain de délice. C’est comme quand tu skates et que tu t’apprêtes à taper un ollie au-dessus des marches et que l’adrénaline t’explose le crâne. Tu vois un peu ? Bah c’est pareil. C’est pareil quand tu te fais pépon par deux meufs, t’es là “putain qu’est-ce qu’elle va faire ? Oh elle va… Putain qu’est ce qu’elles vont faire ? Merde !”. C’est comme ça… Il y a ma bite, deux putes, il se passe quoi ? J’hallucinais et j’étais défoncé en plus. On a fumé beaucoup de weed à Madrid, on était toujours dans un sale état.

Vous dessinez des corps humains avec des membres d’animaux, vous pouvez nous en dire plus ? Vous êtes inspirés par l’Egypte Ancienne ?
C : C’est pas animal. Je ne crois pas que l’art, avec des corps et tout, ça soit vraiment ça. Je crois que cette merde est juste un Gundam (animé japonais sur les « mécha », ndlr), que tu changeras toujours en fonction des nombreuses vies que tu passes, donc j’ai l’impression que parfois t’es juste un mix de différents Gundam que tu as déjà utilisé.

Metro Zu

Donc t’es complètement dans le futur, le cyberpunk et l’espace, t’as déjà vu Demolition Man ?
L : Nop.
C : Ouais ! Avec Sylvester Stallone et Wesley Snipes. J’arrêtais pas de le regarder quand j’étais petit, c’était trop marrant, mais je me rappelle plus de l’histoire en fait.

Ils sont dans le futur, en 2050 ou je sais plus quoi et ils ne font plus l’amour de la même façon, c’est plus du tout physique, c’est seulement avec l’esprit et donc j’aimerais vous demander comment vous voyez le sexe dans le futur ?
L : Oh j’ai un bouquin sur tout ça, ça s’appelle “The metaphysics of love and sex”. Je l’ai ramené avec moi, mais j’arrive pas à le finir, c’est trop chelou. Ils n’arrêtent pas de parler de baiser des meufs sans les toucher. Tu sais j’ai déjà fait des choses comme ça… T’as déjà fait mouiller une meuf en trippant à fond de voyages dans différentes galaxies avec elle ? Bah j’imagine que Demolition Man parle de ça, je devrais voir ce film tiens.
C : C’est dans ce style là mais je pense qu’il y aura quand même un côté physique dans le futur.
L : Tout ça ressemble à Death Cumz, tu sais le morceau que j’ai écrit sur cette meuf. Le sexe était mental avec elle. Avant elle, je ne faisais juste que baiser des meufs chaudes. On a baisé la dernière nuit où j’étais à New York et j’avais l’impression qu’on avait déjà fait ça avant, mentalement je veux dire.
C : Parfois y’a pas mieux que de se construire tout ça dans la tête.
L : Toutes les filles avec qui j’ai baisé mentalement m’ont grave allumé alors je restais distant. Trippant. Mais c’est en fait plus une technique pour que la meuf te pense swag.

Vous êtes à fond dans la magie, non ?
L : Bien sûr mec.
C : Je crois que notre art c’est de la magie.
L : L’art c’est de la magie ! Y’a longtemps j’étais à fond dans les symboles, les lignes, c’est comme ça que commence l’art pour moi. Ce sont des symboles que les gens dessinent pour conjurer la puissance des dieux. Mon premier dessin c’était carrément pour faire de la magie. Je suis sûr d’une chose, à l’époque les magiciens devaient simplement dessiner des trucs complètement barges. C’est comme concentrer toutes tes pensées sur un seul but : le tableau. L’art c’est comme un sort, pour attirer les meufs.

Quel est votre symbole préféré ?
L : J’aime bien la chatte. J’ai l’impression qu’on a changé d’ère, avant on passait notre temps à faire la guerre puis on est arrivé à la fin d’un cycle. Tu sais pourquoi ? Les meufs ne veulent plus voir de négros se faire la guerre et se taper dessus. Tout ce qu’elles veulent c’est de se faire baiser.
C : Tout ce que les femmes m’ont appris c’est qu’elles ne veulent qu’une chose, se faire baiser.
L : Mais quand je te dis “baiser”, je veux dire vraiment une baise connectée. Baiser le mieux possible. Les négros sont trop occupés à se mesurer la bite et passent à côté du but principal : mettre sa teub dans une putain de chatte. C’est ça la vie, mec ! Parce que quand je fais ça, je me dis qu’il n’y a rien de plus cool ici bas. Quand j’ai planté ma teub, je me dis « okay, ma mission sur Terre est remplie ». C’est ce qu’on devrait tous faire, au lieu de se tirer dessus.

Tous les jeunes rappeurs sont fascinés par les jeux video, l’animation et ces trucs. Comment vous vous démerdez pour mixer cette culture dans la musique et votre art?
L : Les négros ont toujours rappé sur les jeux video et toutes ces merdes qu’ils kiffent comme les dessins-animés ou les émissions de télé.
C : Un peu comme Del The Funky Homosapien de Deltron.
L : Les mecs qui ont grandi dans les 90s c’était avec tous ces trucs dont on rappe aussi : Dragon Ball Z, Gundam et les Pokemons. Les Pokemons ça défonce, c’est une vraie culture. La culture change donc notre rap aussi. Je me rappelle quand les mecs ont commencé à rapper “yo sega genesis, super nintendo” tu vois ? Et ouais, il jouait aux jeux video aussi. En parlant de Super Ninento, j’ai bien défoncé le cul de Donkey Kong, en règle !

Si vous pouviez imaginer un porn avec des Pokemons, ça donnerait quoi ?
L : Un porno Pokemon ça donnerait ça : je serais en Broke et Misty serait genre Kitty Pride. Ça serait nous mais les Pokemons nous materaient en disant des conneries du genre « Pikachu est en train de regarder ». Misty et moi on serait juste en train de niquer.
C : Je dégommerais tellement bien Misty… Kitty Pride lui ressemble trop c’est vrai. Pour ma part, ça serait le porn le plus dégueulasse jamais tourné, j’ai juste envie de niquer le cerveau des gens, je veux les entendre hurler « c’est quoi cette merde putain ? »

Chris, tu as posté l’autre jour une mixtape à 500 $, c’était quoi l’idée dernière tout ça ?
C : Ouais et plein de gens ont pété un câble à cause de ça. J’ai toujours rendu ma musique impossible à télécharger, je ne sais pas trop pourquoi, peut-être parce que ça me gonfle. J’ai pas envie que les gens l’achètent, je veux juste qu’ils kiffent dessus, tu vois… Qui peut se payer une tape d’instrus à 500 boules au final ? douzes morceaux, c’est complètement con… J’essaye de faire comprendre aux gens qu’ils peuvent être riches, j’ai d’ailleurs appelé cet album Rich Gang pour cette raison. Faire du fric c’est mon délire en ce moment, je suis déjà riche spirituellement et mentalement et maintenant tout le monde me casse les couilles avant même que je ne leur dise d’aller se faire foutre.

C’est quoi votre porn ?
L : Le dernier que j’ai vu était un truc d’Hentai. C’était un truc chelou avec deux meufs et l’une se transformait en succube puis faisait des ciseaux avec l’autre meuf, qui commençait à se métamorphoser. Tout ça en 3D.
C : J’aime bien parce que ce sont des dessins animés d’abord, puis tout le monde baise tout le monde.
L : Et les filles sont parfaites.
C : Grave.
L : C’est ce que tu veux voir, des seins qui tiennent, des poules parfaites. C’est un hologramme 3D mais porno. Ce que je regarde dans le porn, ce sont des trucs homemade, bien swag, mais c’est la qualité est tellement pourrave parfois… Ce que je veux c’est plus de X-Art dans ma vie. Bien que ça soit super chiant à regarder si tu veux te finir, mais bon je regarde pas de porn pour me branler en fait.
C : Parfois on s’inspire juste de ça, on pique des extraits de porn et on mélange tout ça. La pochette de Mink Rug vient d’un porno d’ailleurs.
L : Au pire du pire, si j’ai vraiment envie de me branler, de lâcher la purée, alors ouais, je vais taper tous les noms d’actrices que je connais comme Gianna Michaels. J’ai grandi avec… Regarde-moi ça, regarde comment elle taille des pipes !
C : Je kiffe regarder des meufs baiser entre elles, les ciseaux et tout ces trucs, c’est cool.

Vous avez parlé d’Hentai, vous êtes dans ce délire monstre hardcore dans le porno ?
L : Non mec, je ne suis pas un monstre.
C : Des monstres qui se tapent des filles divines, ça, ça défonce.
L : Je veux dire, tout ce truc autour des tentacules, c’est assez tendu. Ça me rappelle ce porn, genre science-fiction, avec une Japonaise super mignonne et ces vraies tentacules. Il y avait une meuf « galactique » avec un type qui était à moitié un cyborg avec une queue de robot qui lâchait du foutre bleu sur cette meuf. C’était complètement pété et la fille buvait ce truc. A l’époque, quand j’avais 15 ans je trouvais ça cool et marrant, c’était arty. Plus maintenant.

Vous avez déjà entendu parler de Genki-Genki (vraiment NSFW, ndlr) ? Je suis pas sûr que vous êtes prêts pour ça.
L : J’ai même pas envie de mater ça. Je ne suis pas malade, j’aime pas les trucs tout niqué, tu vois ce que je veux dire ? Ahah. Je me connais. C’est pas un porn avec des godes dans le boule de mecs au moins ?

Après avoir vu la vidéo…
L : Ouais c’est pas mal en fait, c’est comme Tokyo Gore Police.
C : C’est assez artistique, du moins plus que pornographique. Je connaissais déjà Genki-Genki, j’ai déjà fappé sur ce truc, vous êtes complètement à la bourre sur cette merde (rires). Je me suis saigné là-dessus tous les jours. En fait, on devrait arrêter cette interview parce que je viens de jouir.
L : T’as mes pouces ! Je kiffe l’idée, mais seulement si les animaux sont d’accords. Si c’est pas le cas, je sais pas ce que vous branlez avec ça les mecs sans déconner (rires).

Okay, donc qui devrait porter vos gosses ? Qui le mérite ?
C : Je veux juste éparpiller tout mes putains de spermatozoïdes.
L : Il y a plein de filles qui vaillent le coup ici, je les respecte, elles méritent mon foutre, mes bébés.
C : Pour « mériter mon foutre », elle doit être cool. Surtout que je suis sur une bonne vague là, je surfe sur les déesses. Mais au final c’est elles qui gagnent.
L : Au fond, malgré toutes ces meufs en Europe, je continue à penser à une seule meuf à Miami.

Photos par DatChroniqueAuto

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