Dildo & Stitch – Du porn chez Disney

On est assez friand des couacs télévisuels, l’apparition subreptice d’une biroute turgescente ou d’une chôtte entre ouverte en pleine Enquête Exclusive, voilà quelque chose qui nous ferait bien planer. Pour le moment, on se contente du laisser aller des régies métropolitaines ou d’outre-mer, on reste forcément sur notre faim mais heureusement Disney, cet éternel champion du divertissement familial, est là pour nous satisfaire.

Ça se passe en Caroline du Nord. Georgie, en bonne mère au foyer yankee, laisse au vieux Walt le soin de brainwasher ses trois enfants pendant qu’elle s’occupe de faire cuire de pop tarts, tout en sirotant son cocktail quotidien Jack Daniel’s/Myolastan. Entre deux gorgées, Georgie se rend compte que « Ce Rêve Bleu » a été remplacé par des râles d’un autre genre que les minauderies de la princesse Jasmine. Ni une, ni deux, elle laisse tomber ses fourneaux et court sauver le peu d’innocence qu’il reste à ses rejetons (âgés de 2, 3 et 5 ans).

« One-twenty-forth of a second. That’s how long the penis flashes up
there »

À moins qu’il ne s’agisse d’une fausse manip de Georgie, ce dont on doute, il y a à parier qu’une émule de Tyler Durden ait voulu insérer à sa façon des images subliminales dans la grande tradition Disney. Sauf que le quart de seconde habituelle s’est transformé en 6 minutes de good ole porn, glissées malicieusement dans un enregistrement de « Lilo & Stitch« . Dans un pays où les procédures judiciaires sont aussi rapide qu’une épidémie de syphillis, on ne donne pas cher de la peau de Dish Network, le réseau qui diffusait le film incriminé.

Oh you!

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