Stoya veut de ta bite

J’étais tranquille j’étais peinard, accouplé au Fliphole, une news est tombée sur la table : on peut baiser Stoya. Bam, le temps s’arrête, plus rien n’a de sens. Fixement le ciel se tord à la rédac quand on entend ces deux consonnes et trois voyelles : Stoya.

Je veux pas te faire languir, donc autant te prévenir tout de suite : non, tu ne pourras pas vraiment baiser la belle. Mais non, ce n’est pas non plus un poisson d’avril parce qu’on est pas des boloss, et que c’est pas le genre de la maison de faire souffrir ses lecteurs adorés. Tu t’en doutes, y’a un artifice : tu peux seulement baiser la version plastique du vagin / cul /  bouche de notre idole, merci Fleshlight. D’ailleurs, Stoya n’est pas la seule, histoire de varier les plaisirs. Mais bon, comment résister à ce sourire ?

https://www.youtube.com/watch?v=32Od80bFNCg

La news est pas toute fraîche, loin de là, puisque le modèle Stoya est sorti cet été. On a raté ça, trop occupés que l’on était à déguster nos pastagas. On est tombé dessus par hasard, grâce à Xcritic qui vient de publier un test du Graal. Et c’est du lourd.

“Just like you, I’ve never had the ultimate pleasure of fucking Stoya’s real pussy. But, her Destroya is definitely a good second best!”

Crois-moi, ça a eu l’effet d’un Tomahawk dans nos coeurs de quineurs. Alors on se rattrape, et on #partage.

Le porn en mode transmédia, tu l’as rêvé, c’est en train de se passer. On avait déjà la 3D pour l’immersion, il ne manquait plus qu’un joujou pour faire valser les sensations. C’est chose faite avec Fleshlight. Le quatrième mur s’érode, les enfants, et c’est pas pour me déplaire. Bienvenus dans la branlette du futur.

PS : En plus, Stoya touche des royalties quand tu enfournes son avatar de silicone.

You wanna see some ass, I wanna see some cash,
keep the dollars coming and that’s gonna make me dance
and that’s gonna make me dance
and that’s gonna make me dance
make it rain .., make it, make it rain ..
make it rain .., make it, make it rain ..

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