Well you can get this lap dance here for free

Oooh baby you want me?
Well you can get this lap dance here for free

N*E*R*D – Lapdance

J’ai jamais compris pourquoi on ne nous proposait pas des super lap dances ou des strips de qualité sur le net, pourquoi vous nous faites ça, hein ? Le lobby du strip serait-il si puissant ? Des fois t’en as marre de mater des bites à la chaîne dans des culs à la chaîne, t’es un peu un esclave marqué au triple X. Je ne vais pas remonter mon jean au dessus du genou en soutien à mes frères enfermés dans la matrice du porn. Je vais plutôt aller prendre mon baluchon et parcourir les routes du sexe à la recherche de bons strips. Une sorte de messager de mes frères opprimés, par contre je sais pas si cette métaphore filée va tenir la route, si elle s’évapore au coin d’une phrase, tu ne m’en voudras pas ? Merci, j’aime quand t’es comme ça.

La vidéo de strip remonte à ma plus tendre adolescence, celle où avec ma gueule de quiche je pouvais aussi facilement choper que gagner à l’EuroMillions qui n’existait pas. J’avais un faible pour les productions d’Andrew Blake et son égérie Aria Giovanni était numéro un. Quand tu tapais son nom, des lap dances apparaissaient par enchantement et j’ai testé récemment, Google n’a toujours pas lâché l’affaire. À vrai dire sa carrière se résume facilement à du lesbianisme slow motion Blakien et à des lap dances avec des copines d’enfance. Ça reste honnête, au moins elle n’est pas trop dégradée et vieillit bien. Mais qu’est ce qui me poussait à regarder ça ? J’aime quand une porn star me regarde dans les yeux, ça me fout les jetons alors je bande. Oui, quand j’ai peur, je bande, c’est un réflexe de survie, ça augmente la tension artérielle et le rythme cardiaque. Je deviens prêt à toute éventualité avec le sourcil relevé. Quand tu filmes une scène à deux, la fille n’a pas vraiment d’autre choix que de regarder son partenaire, sauf peut-être dans des prods françaises où son regard niais n’atteint pas le bout de son nez. Mes inclinaisons à regarder le fond de leur pensée m’ont alors fait pencher tout naturellement vers le POV, que je défends corps et âme sur ce blog pute. Et en toute logique, le lap dance.

Aria Giovanni Lapdance sexy

Aria Giovanni, sock it to me !

Déjà relaté ici, mais une couche de plus ne peut pas vous faire de mal – tant il est vrai que vous aimez le matraquage sur vos petits culs – j’aime être captivé par la vidéo. Et pour ça, j’ai mon petit secret. Un des rares intérêts que je porte à fumer des joints est de pouvoir m’offrir des orgasmes XXL, des trucs à obtenir une rupture d’anévrisme et mourir de la belle manière. À l’époque, je faisais des soirées porno sous THC, j’avais l’impression d’être dépucelé et d’être un vieux routard de la baise, blasé en somme. Alors, rapidement j’ai cherché des trucs de mec de 50 ans : des strips. Ça coûtait moins cher sur le net, puis avec une grosse weed bien grasse, l’effet fonctionnait bien par coup de pression. Des années après, ma parano a eu raison de la fumette en solo, mais je me surprends encore à retaper ce tag précieux. État des lieux du strip en ligne.

Google et le lap dance, ça commence mal. Cours de lap dance, vidéos de connes sur youtube et explication de texte. Tu rajoutes porn, les réponses renvoient directement aux tubes. Premier affront aux studios, faut acheter des mots-clés les mecs, sinon vous êtes baisés. Donc je clique, Google propose, je vais pas le froisser. On tombe alors sur pas mal de petites vidéos, du genre virtual lap dance, Aria Giovanni continue à représenter (c’est elle qui achète les mots-clés, faut croire) et quelques gourmandes prennent le pas. Y’a de tout, de la merde sans nom à la came pro en passant par du pro-am gothique qui me parle un peu. Puis, un nom attire mon regard, il revient souvent c’est Danni.com. Site premium au contenu relativement classe, c’est-à-dire Porn Valley et tag précis : asslick, filthyhabit (clopes), Danni Girl du mois et autres bêtises. Et tout ça depuis 1995 ! Eh bien qu’ils y restent, vu le prix au mois (même pas de prix pour 24h, histoire de tester) j’ai renoncé. Plus loin, je tombe sur cette dose : « Dance on my dick ». Le concept est simple, une teen te fait un lap dance sur ta bite, je trouve le concept alléchant, je lâche un peu de fric et je teste. Pas mal, j’adhère mais pas plus de 48h, car on a vite fait le tour. Next ? Plein de sites non spécialisés, plus orientés gros culs au grand angle à la brazzers et cie. Pourquoi pas, mais en attendant je n’ai toujours pas eu mon vrai lap dance.

Puis je me suis dit que ça serait bien si je sortais de mon trou à rat pour voir la lumière des néons, j’accepte alors l’invitation de la douce dir. com. du Secret Square et je me dirige un soir de pluie dans le temple de la malice. Arrivée, champagne en main, je m’installe tranquillement entouré de douceurs de ma connaissance, elles-mêmes entourées de charmeuses peu vêtues. Cette vision poupées russes commence à grignoter progressivement mon cerveau alors je projette ma concentration sur la barre de pole dance. La différence notable entre mon écran et la réalité, c’est quand même la 3e dimension, et en attendant que Dorcel refasse mon équipement High tech, je vais me contenter de traverser la réalité et viser d’une pupille dilatée de bonheur ces culs qui caressent la barre en fer. C’est le « bal des débutantes », des amatrices nous montrent leur talent de danseuse et quand la réalité rejoint l’amat et le strip, je me dis que je tiens entre les mains un angle tout à fait singulier pour finir cet article. Alors voilà, je pensais vous dire que l’excitation provoquée par une débutante qui s’essaye au pole dance est comme un gros gâteau fait à ma perception mais non en fait j’ai eu la bonne idée d’aller me resservir à boire.

Secret Square Alexandre UBEDA Strip Tease Poledance

Le Secret Square © Alexandre UBEDA

Donc me revoilà au bar, l’endroit est classieux – malgré le nombre hallucinant de wannabe cadre en costume Armand Thierry – et le serveur est aux petits oignons, ce qui me réjouit d’avance. Je prends deux coupes, comme ça. Je paye une note tout à fait raisonnable de 48 euros qui provoque un appel de ma CB vers la BNP, je reste cool. Ca passe, je respire. Je me redirige vers mon carré VIP où la température dans leurs culottes mérite sûrement un rafraîchissement quand je tombe nez à nez sur une fille. Je me dis, celle-là je la connais, généralement je ne suis pas du tout physionomiste donc je me dis que mon intuition est bonne. « hey salut L***** », rapport à sa tête de « oulala, non, il m’a vu, il m’a vu », j’en déduis que c’est bien elle. On discute, ça fait dix ans qu’on ne s’est pas croisés, on était au collège ensemble. Mais, je remarque que derrière sa gêne se sont cachés des habits noirs, sans exception. Me rappelant la phrase de Gaelle à l’entrée, qui me dit que les débutantes sont en noir, mon visage écarlate arbore un sourire de canaille. Petite tape sur l’épaule « on se voit tout à l’heure ? », après l’avoir rassurée quinze fois que je ne twitterai pas son nom. Je retourne au cœur du problème, j’attends.

C’est au tour de L***** de passer. Ça commence un peu à bouillir dans ma tête, à ma gauche on me fait du pied, à ma droite, Ioudgine est habillée pour tuer (tellement que j’ai cru au début qu’elle bossait dans le club). Tout autour ça se dandine, ça enlève le haut, et devant moi ma camarade de 4e qui commence son affaire. 6 min, j’ai chaud, mais je maintiens le cap du cool. Elle écarte ses cuisses, ces quelques mètres qui nous séparent ce sont dix ans qui s’écroulent. Mes yeux font des pointillés jusqu’à la barre, on dirait une piste de décollage tellement ça clignote. Je suis foutrement dans la merde parce que là y’a saturation de paramètres. Je prends sur moi, je me rappelle mes séances de méditation, je fais le vide. Je crois qu’on me parle, je dis rien. Y’a trop de poupées russes dans le secteur, j’appuie sur le bouton éjecter, ma tête part rejoindre Neil Amstrong sur la lune. Notre amie finit sa prestation, on applaudit, une autre la remplace, une pro, son cul me rend dingue, j’ai envie d’y planter l’étendard du Tag. Il faut qu’on parte.

Poledance Technique Strip tease

En rentrant, j’ai fait mes exercices dans le métro, pratique

Une fois de retour chez moi, j’ai du mal à dormir, je me réveille en disant « putain y’a trop de culs dans ma tête ! », tout va mal. J’ai qu’une envie c’est d’y retourner, claquer tout mon fric dans ce vice-jeu, osef l’internet. Je veux de la chatte bien réelle. La messe est dite.

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  • Si mes souvenirs twitteriens sont bons … La fameuse robe de Ioudgine était verte ?! Tu aurais pu nous faire quelques twitpics discrets … On aime mater 🙂

  • Alléluia !

    Lecteur du Tag depuis ses début, j’ai toujours été fasciné par la prose de ses auteurs. C’est ainsi que les idées fusent dans ma tête, malheureusement le talent pour les allonger par écrit me manque ..

    Bref, tout ca pour en venir au fait qu’on parle beaucoup ici des différents styles et dérives de l’écosystème pornographique, mais au final qu’es ce qui nous excite le plus ?

    Gonzo à posé ici la problématique : « Des fois t’en as marre de mater des bites à la chaîne dans des culs à la chaîne, t’es un peu un esclave marqué au triple X »

    Je penses que les gros génocideur de spermatozoïdes que nous sommes aiment la simplicité, la sensualité et l’orgasme, le vrai, pas d’ersatz sans gout que nous dispensent nos dealers de vidéos en streaming. De voir la fille surjouer son plaisir avec le regard tourné vers le fond de l’objectif de la caméra pendant que son partenaire la besogne violement, provoque tout l’inverse de ce que j’en attendais.

    Finalement nous recherchons tous la même choses, l’orgasme, celui qui ne te vide pas que les couilles ! Celui qui te laissera cloué à ton canapé pour le reste de la soirée avec un rictus collé sur ta tronche. Plus rien d’autre n’aura d’importance … Jusqu’à demain.

  • Ami Gonzo, sans le savoir, tes tweets salaces ce sont accouplés sauvagement à ceux de @secretsquare sur le lit à eau de ma timeline ce soir de novembre.

    Ce coït nous a irrémédiablement amené, un compagnon de fortune et moi, à cette soirée des débutantes.
    Il y a sans doute le fait qu’on y était la semaine précédente et que notre discernement était déjà sérieusement entamé par le vin, il ne manquait plus que ton doigt en forme de tweet pour nous pousser dans le ravin des vices parisiens.

    Serrage de pogne virile, mais pas trop quand même.
    SpongeJack

  • *rougis*

    Le Secret Square est un endroit que j’affectionne beaucoup.
    Merci d’être venu et d’avoir apprécié ^^ et oui j’espérais secrètement que tu ne me reconnaîtrais pas ^^

  • Une soirée exceptionnelle. Il faut l’avouer.

    Je n’ai su distinguer L*** des autres, mais bon, le spectacle des débutantes valait bien celui des pros. Plus que ça même.

    Mais pour nous, pas de stress de rencontrer une vieille copine de collèges. on serait plutôt du style à la ramener chez nous.

    Par contre, gros stress de ma belle à l’idée de croiser son patron. Qui doit bien être du style à profiter des joies du striptease. Même si finalement, on l’imagine plus facilement dans un bouge de Pigalle.

    En tous cas, soirée mémorable.

    Laume

    PS : notre récit de cette soirée : http://bit.ly/hgKDGa

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